(ce qu'il est bien, dis donc) (comme elle vient de s'en aller, et qu'on l'aimait assez, ce sera elle) (ça pourrait aussi bien - non moins bien mais quand même - se tenir dans "le ventre de l'architecte" (Peter Greenaway, 1987) encerclé par la psychose à Rome, pas si mal mais non) la préparation du repas, le repas le plus fastueux jamais conçu dans ce coin paumé du Jutland, une merveille et la cuisinière (silence, ses mains ses yeux, son regard son sourire, cette merveille) la table et le chemin de fleurs, les mets choisis les ingrédients, cette femme, magnifique Babette, cette française qui fuit la répression de l'ignoble thiers -sans majuscule pour la crevure- on en connaît d'autres ces temps-ci- et prépare ce repas (inspiré d'une nouvelle de Karen Blixen): la joie Stéphane Audran, ôtée à notre affection il y a quelques semaines)(Le festin de Babette, Gabriel Axel, 1987 - oscar du film étranger 1988 quand même)
CROIX, 22 mars, à 19h, Librairie Les Lisières, au 28 rue de la gare, en présence des éditions Cours toujours, lecture et signature d’« Angèle ou le syndrome de la wassingue »
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TOURNAI, 7 avril, festival « Poésies Moteur » #2, lecture de "Ni bruit ni fureur" de 16h à 17h, Vitrine Fraîche, rue de la Cordonnerie.
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COLLINE DE SION-SAXON-SION (Meurthe et Moselle), 21 avril, à 20h, Cité des Paysages dans le cadre du festival POEMA, lecture en duo avec le contrebassiste Louis-Michel Marion.
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OIGNIES, 31 mai, à 19h au 9-9bis, Pôle Patrimoine, Regards sur le bassin minier, avec les photographies de Patrick Devresse, lecture (20 mn) « Les Terrils »
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AMIENS, 8 et 9 juin, présence au Salon du Livre (précisions à suivre)
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BETHUNE, 23 juin, signature au Furet du Nord pour « Angèle ou le Syndrome de la wassingue » aux éditions Cours-Toujours
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SAINS EN GOHELLE, 8 septembre, présence au Salon du Livre
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LUMBRES, 18 novembre, 10h – 18h, présence au Salon du Livre organisé par Graines de culture.
4 Comments:
(ce qu'il est bien, dis donc) (comme elle vient de s'en aller, et qu'on l'aimait assez, ce sera elle) (ça pourrait aussi bien - non moins bien mais quand même - se tenir dans "le ventre de l'architecte" (Peter Greenaway, 1987) encerclé par la psychose à Rome, pas si mal mais non) la préparation du repas, le repas le plus fastueux jamais conçu dans ce coin paumé du Jutland, une merveille et la cuisinière (silence, ses mains ses yeux, son regard son sourire, cette merveille) la table et le chemin de fleurs, les mets choisis les ingrédients, cette femme, magnifique Babette, cette française qui fuit la répression de l'ignoble thiers -sans majuscule pour la crevure- on en connaît d'autres ces temps-ci- et prépare ce repas (inspiré d'une nouvelle de Karen Blixen): la joie Stéphane Audran, ôtée à notre affection il y a quelques semaines)(Le festin de Babette, Gabriel Axel, 1987 - oscar du film étranger 1988 quand même)
Merci (il me plaît bien aussi) et j'ai toujours eu un "faible" pour Stéphane Audran.
moi aussi (j'ai collé une photo d'elle pendant le week-end sur la page des liens P/E*...)
poingsmainmainyeux pause
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