(en vrai, Irène c'est Christiane (Edith Scob : elle était aussi dans "La tête contre les murs", le précédent, une actrice formidable, on l'adore - même dans le "Holy Motors" de Leos Carax (2012) c'est pour dire) lui, c'est son père, il est chirurgien - le plus salaud des salauds, c'est lui - c'est Pierre Brasseur (ça finit mal pour lui, heureusement), mais ça pourrait être Jules Berry - quoiqu'il jouait plutôt des personnages sans culture - ça se passe dans une propriété en banlieue, c'est glauque à souhait, ça sue l'angoisse du début à la fin : c'est une vraie merveille) (d'ailleurs Georges Franju ne déteste pas ce climat : ça n'a rien de fortuit) (image aussi Eugen Shüfftan, c'est celui des Niebelungen (1924) et de Metropolis (1927) de Fritz Lang (période allemande) qui magnifie aussi l'ambiance) (musique Maurice Jarre, extra) (presque toute l'histoire du cinéma qui défile, classique des classiques : Les yeux sans visage (1959)...
J'ai vu ce film "Les yeux sans visage", très jeune, au ciné-club. Un film inoubliable. Pour les images, le visage, justement, d'Edith Scob, et aussi et surtout la bande-son... J'ai encore dans l'oreille les aboiements des chiens.
CROIX, 22 mars, à 19h, Librairie Les Lisières, au 28 rue de la gare, en présence des éditions Cours toujours, lecture et signature d’« Angèle ou le syndrome de la wassingue »
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TOURNAI, 7 avril, festival « Poésies Moteur » #2, lecture de "Ni bruit ni fureur" de 16h à 17h, Vitrine Fraîche, rue de la Cordonnerie.
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COLLINE DE SION-SAXON-SION (Meurthe et Moselle), 21 avril, à 20h, Cité des Paysages dans le cadre du festival POEMA, lecture en duo avec le contrebassiste Louis-Michel Marion.
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OIGNIES, 31 mai, à 19h au 9-9bis, Pôle Patrimoine, Regards sur le bassin minier, avec les photographies de Patrick Devresse, lecture (20 mn) « Les Terrils »
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AMIENS, 8 et 9 juin, présence au Salon du Livre (précisions à suivre)
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BETHUNE, 23 juin, signature au Furet du Nord pour « Angèle ou le Syndrome de la wassingue » aux éditions Cours-Toujours
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SAINS EN GOHELLE, 8 septembre, présence au Salon du Livre
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LUMBRES, 18 novembre, 10h – 18h, présence au Salon du Livre organisé par Graines de culture.
6 Comments:
L'inconnu faisait quelque chose dans Irène.
C'est plausible...
(en vrai, Irène c'est Christiane (Edith Scob : elle était aussi dans "La tête contre les murs", le précédent, une actrice formidable, on l'adore - même dans le "Holy Motors" de Leos Carax (2012) c'est pour dire) lui, c'est son père, il est chirurgien - le plus salaud des salauds, c'est lui - c'est Pierre Brasseur (ça finit mal pour lui, heureusement), mais ça pourrait être Jules Berry - quoiqu'il jouait plutôt des personnages sans culture - ça se passe dans une propriété en banlieue, c'est glauque à souhait, ça sue l'angoisse du début à la fin : c'est une vraie merveille) (d'ailleurs Georges Franju ne déteste pas ce climat : ça n'a rien de fortuit) (image aussi Eugen Shüfftan, c'est celui des Niebelungen (1924) et de Metropolis (1927) de Fritz Lang (période allemande) qui magnifie aussi l'ambiance) (musique Maurice Jarre, extra) (presque toute l'histoire du cinéma qui défile, classique des classiques : Les yeux sans visage (1959)...
J'aime le livre d'Aragon qui porte ce prénom.
Prénom complément d'un nom qui rime avec Aragon.
J'ai vu ce film "Les yeux sans visage", très jeune, au ciné-club. Un film inoubliable. Pour les images, le visage, justement, d'Edith Scob, et aussi et surtout la bande-son... J'ai encore dans l'oreille les aboiements des chiens.
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